Les données, pourquoi et comment les récolter ? Comment les exploiter ? Comment déterminer leur importance dans le choix de la décision du coach… Autant de questions auxquelles a répondu Chloé Gobé, Data Scientist du SRFC, devant un parterre de partenaires le vendredi 14 février.
Une intervention exclusive qui entrait dans le cadre des petits déjeuners du Klub Affaires, qui s’est tenue dans un lieu tout aussi exclusif, la salle de conférence de presse du Roazhon Park. Une fois les présentations faites, Chloé Gobé, passé notamment par l’INSEP avant d’atterrir en Bretagne il y a un an, a su employer les bons mots pour vulgariser un domaine bien souvent nébuleux pour le commun des mortels. Maintes fois utilisés pour dresser des constats et établir des analyses, les chiffres, côté coulisses, aident à de multiples prises de décisions chez les coachs, les dirigeants, les recruteurs, les préparateurs physiques… Encore faut-il savoir les exploiter, les interpréter et les corréler avec un tas d’autres paramètres.
Un métier exigeant, fascinant voire intriguant qui a mis en éveil les partenaires présents, dont Pascal Mognol, Président de l'École normale supérieure : « Comprendre ce qui est fait des données entre les spécialistes métiers et les coachs c’était extrêmement intéressant. J’ai été étonné par la complexité et le nombre de datas face à la simplicité de la personne qui nous les a présentées. C’était clair et limpide. » Même réaction pour Maître Sandra Pellen, avocate au Barreau de Rennes. « C’était une intervention pertinente, dans une semaine dédiée à l’IA au Grand Palais. En France, on n'est pas en manque de compétences à ces sujets, et j’ignorais que le Stade Rennais était une référence en Ligue 1 en la matière. Et de voir une femme à ce poste, dans un milieu majoritairement masculin, c’est formidable. On constate que ce sont des supports que l’on ne peut pas négliger dans la recherche de performance. Cela nous permet à nous, les chefs d’entreprise, de rester éveillés sur les innovations des logiciels métiers et dans les aides à la décision. En tant qu’éternelle optimiste, il ne faut pas en avoir peur au contraire. »
